lundi 3 juin 2013

SANDRUMA : LA SÉRIE TELEVISEE DE DROITS HUMAINS

LA NOUVELLE SÉRIE TÉLÉVISÉE DE SENSIBILISATION ET PROMOTION DE DROITS HUMAINS BIENTÔT SUR VOS ÉCRANS




SANDRUMA, est une série télévisée de promotion et de sensibilisation de droits de l’Homme  dans la famille, l’école, le quartier, la police et l’église.
SANDRUMA est un mot Lingala qui veut dire violence
Ayant été touché par des différentes violences (violences sexuelles faites aux femmes, violences des terres, tortures, massacres, vols a main armées, etc).   l’ONGDH CEPRODHEC par son département de sanction positive et de la lutte contre la médiocrité, a  trouvé bon d’apporter leurs soutiens à la population congolaise en générale et en particulier aux victimes des violences des droits humains par la diffusion d’une série télévisé  intitulé « SANDRUMA ».

Cette série nous montre le rôle qu’un défenseur de droits humains  peut jouer dans des moments des graves violations des droits humains ; l’importance et la place que le Droit de l’homme peut occuper si elle est respecter et enseigner à toute la classe de la population.
 POURQUOI LE DROIT DE L’HOMME
De manière plus concrète, les droits de l’Homme, qu’ils soient civils, politiques, économiques, sociaux ou culturels  sont inscrits dans des textes dont la valeur juridique est variable, comme la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, de même valeur que la Constitution, ou les grandes conventions internationales [3] négociées dans le cadre des Nations unies. Ces textes internationaux ont été adoptés par le peuple ou ses représentants élus mais son trop souvent ignorés, y compris par nos tribunaux. Pourtant, du point de vue du droit constitutionnel, ils possèdent une valeur supérieure à celles des simples lois. 

Une fois ces bases posées, il devient difficilement compréhensible que la question des droits de l’Homme se limite aujourd’hui au seul fait de savoir si le Président doit, ou non, parler de droits de l’Homme à Khadafi ou à une critique facile de toute politique de limitation de l’immigration au nom des libertés fondamentales. A ce degré d’abstraction, les droits de l’Homme se dissolvent dans une polarisation contre-productive (”pour ou contre les droits de l’Homme ?”) et une inconsistance dramatique (”les droits de l’Homme existent-ils ?”). Il est, entre les excès de la technocratie et l’agitation de symboles, un espace pour la discussion politique. Un nouveau travail de conscientisation est nécessaire, pour que, selon l’expression de Robert Badinter lors du 50ème anniversaire de la Déclaration universelle, le respect des droits de l’Homme constitue de nouveau un “horizon”.

Soucieux de la promotion de droits Humains, l’ONGDH CEPRODHEC-CONGO compte déjà plus 1200 activistes de droits humains formés dans toute la république démocratique du Congo, et continue toujours à faire la promotion de droits humains, notons que   les droits de l’Homme ont été opposés progressivement par les peuples anglais, américains et français à l’arbitraire de leurs dirigeants, même si des précédents ont pu être observés sous des formes différentes ou partielles, en Europe ou sur d’autres continents. Nous devons savoir  qu’un principe fondamental des droits de l’Homme est leur indivisibilité et leur interdépendance, c’est-à-dire l’impossibilité de limiter son action à une catégorie particulière de droits sans influencer les autres catégories.

C’est dans cette optique que l’ONGDH intervient au travers de cette série enfin de rendre le droits de l’homme une réalité palpable  dans notre pays.
suivez cette série elle vous fera du bien.