mercredi 25 janvier 2017

L’honorable députée Henriette WAMU ATAMINA : invite les jeunes à s’enrôler massivement pour leur permettre de bien se positionner aux élections futures


L’honorable députée Henriette WAMU ATAMINA : invite les jeunes à s’enrôler massivement pour leur permettre de bien se positionner aux élections futures

Les élections jouent un rôle très importants dans un pays démocratique, elles garanties  à tous les citoyens  le droit de participation politique à la Direction des opprimées publiques, elles légitiment le pouvoir politique, détiennent les élus du peuple. ces phrases d'encouragement de l’honorable députée Henriette WAMU ATAMINA, Invitée à la conférence "sur le rôle des élections dans un pays démocratique et son impact sur la vie des jeunes" organisée par l’ONGDH CEPRODHEC-CONGO en collaboration avec le RESEAU DE DEFENSE DES DROITS HUMAINS DU GABON REDDHG en sigle, tenue en la salle de conférence OTOMO de Libreville, l’honorable députée Henriette WAMU ATAMINA à démontrée aux participants l’impact de l’enrôlement des jeunes pour participer à la prise des décisions.

Prenant la parole Monsieur Guillaume MUZAMBAKANI, représentant de CEPRODHEC-CONGO, avait encouragé et loué l’intervention de l’honorable Henriette WAMU ATAMINA ainsi que ses efforts combien louables pour la société R D  Congolaise.


dimanche 8 janvier 2017

MADAME TSHIBWABWA MUKAMBU Jeanine EN DANGER D'INSECURITE



POUR AVOIR ETE SOUPCONNEE DE LA GESTION DE COMPTE DU M23, GESTION DES INFORMATIONS SUR LE DOSSIER DE FAUSSE COMMUNE DU 19 JANVIER 2014 ET DETENTION DE PREUVES DE COULAGE DES RECETTES DES ENTREPRISES EXTRAMINIERES : MADEMOISELLE TSHIBWABWA MUKAMBU Jeanine FAISANT L’OBJET DES MULTIPLES POURSUITES PAR DES ARRESTATIONS, ENLEVEMENT, VIOL, TENTATIVES D’ASSASSINAT SOLLICITE UNE PROTECTION INTERNATIONALE
Il est d’une vérité incontestable que Mademoiselle TSHIBWABWA MUKAMBU Jeanine, de Nationalité congolaise, est née à Kinshasa le 06 septembre 1980 et est détentrice d’un diplôme de graduat en technique de l’institut Technique des Arts et Métiers  et étudiante en 3ème licence en Management de leadership d’une université de grande renommée en RDC.

 En effet à la suite de quelques mois de chômage à l’issue des ses études, la citée a été retenue sur base d’un test d’admission comme caissière ensuite contrôleur de Banque de carrière avec pour fonction d’auditeur et de contrôleur précisément à la BIAC depuis l’an 2008 jusqu’au moment où elle faisait l’objet des poursuites pour lesquelles elle sollicite par hospitalité et humanisme, une protection.

 Ainsi, au vu de toutes ses compétences professionnelles, la requérante finira par être retenue à la direction d’audit interne, considérée comme organe suprême du contrôle interne dans les Banques avec pour mandat d’analyser et de s’assurer de la pratique de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme dans la banque.

 Après plusieurs rapports d’audit, il s’est avéré selon l’information reçue auprès de son superviseur qu’un certain Jean Marie, serait impliqué avec ses amis au pillage des ressources et blanchiment d’argent aux fins de financer le M23. Par conséquent, les débits de son compte finiront par être mis sous surveillance-débit. Après l’arrestation de son superviseur, alors que ce dernier avait déjà cité le nom de la requérante Tshibwabwa Mukambu qui compliciterait selon certaine version à la gestion d’un compte bancaire, source du financement du M23, une autre version de fait rependue et véhiculée même dans les médias révélait que le présumé Jean-Marie serait et travaillerait avec le M23 dont ils sont complices dans les milieux financiers notamment dans l’institution financière FINCA où la précitée allait auditer les origines des fonds de certains clients, cause de multiples arrestations de son superviseur Monsieur, le prétendu Alain par les agences de renseignement reproché d’avoir géré le compte de M23 dans les livres de FINCA et pour s’être rencontré au cours de cette même année avec Monsieur le titulaire de ce compte.

 Après plusieurs jours de détention, Monsieur Alain Serge bénéficiera d’une liberté, alors qu’il avait déjà cité son nom pendant les aveux passés sous torture.

C’est donc le 21 Novembre 2013 que la requérante recevra une invitation des agences de renseignement pour le même objet d’arrestation que le précité superviseur, « gestion de compte d’un certain Jean Marie… et alliés issus de blanchiment avec pour mission le financement du M23 ».

Les allégations et tous les moyens de défense fournie lors de ses différentes auditions auprès de ces lieux d’interpellation n’ont jamais sauvé de justesse la requérante de cette accusation. Ce qui lui aurait valu(9) neuf arrestations, l’enlèvement, les interpellations, inquiétudes et poursuites sauf erreur ou omission, par les agents de renseignement ou des personnes non autrement identifiées malgré les quelques voyages effectués pour s’en échapper.

 Par la crainte de ces tentatives d’enlèvement et arrestations arbitraires qui ne cessaient de se multiplier, la requérante Tshibwabwa été obligée de se faire membre adhérent dans deux Organisations de la société civile et de défense de droits de l’Homme ,le 10 avril 2014 précisément à la EFIDH sous la direction de Monsieur Flavien KINGUNZA et le CEPRODHEC-CONGO BATATA NSIMBA et Guillaume MUZAMBAKANI ,président ,secrétaire et Directeur National, et cela grâce aux conseils et orientations de son frère germain, Tathy DIKANDA, déjà membre de ces deux associations depuis plusieurs années.

 Bref, étant membre de ces deux organisations de défense des droits de l’homme, elle serait traitée de plusieurs étiquettes mises en place par les agents de renseignement prédateurs dans l’intention de la nuire d’avantage et qui seraient même dans le collimateur de ceux qui menacent les actions de ces deux structures, notamment :


1. La Complicité dans la gestion de compte et financement du M23 ;

2. La Complicité dans la publication sur net des images sur la fausse commune de Maluku et Opération likofi ;

3. La Détention des informations et preuves sur le coulage des recettes des sociétés extra minières, encouragé par certaines autorités.



Ce sont donc ces deux précitées organisations dont elle est membre qui ont militées et militent jusqu’à ces jours pour la défense de sa cause et saisissent par ricochet les autorités compétentes pour information et préservation de l’image de la RDC ainsi que pour une démocratie tant prônée, malgré la suite défavorable du résultat attendu étant donné que la majorité parmi certaines des autorités restent contre les interventions des ces deux structures de défense de Droits de l’homme.

 Curieusement et contre toute attente, les agences de renseignement vont contre-attaquer ces structures de défense de droits de l’homme et organiser même de poursuite à l’endroit de ses responsables sous prétexte qu’elles sont à la disposition des informations sur les fausses commune de Maluku du 19 mars 2015 et détiennent même les preuves de coulages de recettes de la société CDC contre les autorités Gouvernementales.

 Bref, toutes ces étiquettes relatives à la détention des informations sur la fausse commune et les preuves de coulage des recettes lui ont été collées, outre la complicité de la gestion de compte du M23.

 Malgré plusieurs voyages effectués dans l’objectif de chercher refuge et échapper aux multiples poursuites et guet apens, dont à l’extérieur comme à l’intérieur de la RDC notamment : à Lubumbashi et au Sénégal qui n’ont donné aucun résultat en terme de protection, la requérante sollicite par la présente une protection internationale auprès de tout pays animé par l’hospitalité à l’égard de son opprobre et souillure de toute forme de violence sexuelle et physique connue et lance un cri d’alarme aux autres membres de la société pour la défense de sa cause combien inquiétante malgré les multiples abus enregistrés. La vie humaine étant sacrée et les droits à l’asile n’étant pas exclu.


Vernaud BATATA NSIMBA
secrétaire Général