POUR AVOIR ETE SOUPCONNEE DE LA GESTION DE COMPTE DU
M23, GESTION DES INFORMATIONS SUR LE DOSSIER DE FAUSSE COMMUNE DU 19 JANVIER
2014 ET DETENTION DE PREUVES DE COULAGE DES RECETTES DES ENTREPRISES
EXTRAMINIERES : MADEMOISELLE TSHIBWABWA MUKAMBU Jeanine FAISANT
L’OBJET DES MULTIPLES POURSUITES PAR DES ARRESTATIONS, ENLEVEMENT, VIOL,
TENTATIVES D’ASSASSINAT SOLLICITE UNE PROTECTION INTERNATIONALE
Il est d’une
vérité incontestable que Mademoiselle TSHIBWABWA MUKAMBU Jeanine, de
Nationalité congolaise, est née à Kinshasa le 06 septembre 1980 et est détentrice
d’un diplôme de graduat en technique de l’institut Technique des Arts et Métiers
et étudiante en 3ème licence
en Management de leadership d’une université de grande renommée en RDC.
En effet à la suite de quelques mois de chômage à l’issue
des ses études, la citée a été retenue sur base d’un test d’admission comme
caissière ensuite contrôleur de Banque de carrière avec pour fonction
d’auditeur et de contrôleur précisément à la BIAC depuis l’an 2008 jusqu’au
moment où elle faisait l’objet des poursuites pour lesquelles elle sollicite
par hospitalité et humanisme, une protection.
Ainsi, au vu de toutes ses compétences
professionnelles, la requérante finira par être retenue à la direction d’audit interne,
considérée comme organe suprême du contrôle interne dans les Banques avec pour
mandat d’analyser et de s’assurer de la pratique de la lutte contre le
blanchiment d’argent et le financement du terrorisme dans la banque.
Après plusieurs rapports d’audit, il s’est avéré selon
l’information reçue auprès de son superviseur qu’un certain Jean Marie, serait
impliqué avec ses amis au pillage des ressources et blanchiment d’argent aux
fins de financer le M23. Par conséquent, les débits de son compte finiront par
être mis sous surveillance-débit. Après l’arrestation de son superviseur, alors
que ce dernier avait déjà cité le nom de la requérante Tshibwabwa Mukambu
qui compliciterait selon certaine version à la gestion d’un compte bancaire,
source du financement du M23, une autre version de fait rependue et véhiculée
même dans les médias révélait que le présumé Jean-Marie serait et travaillerait
avec le M23 dont ils sont complices dans les milieux financiers notamment dans
l’institution financière FINCA où la précitée allait auditer les origines des
fonds de certains clients, cause de multiples arrestations de son superviseur
Monsieur, le prétendu Alain par les agences de renseignement reproché d’avoir
géré le compte de M23 dans les livres de FINCA et pour s’être rencontré au
cours de cette même année avec Monsieur le titulaire de ce compte.
Après plusieurs jours de détention, Monsieur Alain
Serge bénéficiera d’une liberté, alors qu’il avait déjà cité son nom pendant
les aveux passés sous torture.
C’est donc le 21
Novembre 2013 que la requérante recevra une invitation des agences
de renseignement pour le même objet d’arrestation que le précité superviseur, «
gestion de compte d’un certain Jean Marie… et alliés issus de blanchiment avec
pour mission le financement du M23 ».
Les allégations et tous les moyens de défense fournie
lors de ses différentes auditions auprès de ces lieux d’interpellation n’ont
jamais sauvé de justesse la requérante de cette accusation. Ce qui lui aurait
valu(9) neuf arrestations, l’enlèvement, les interpellations, inquiétudes et
poursuites sauf erreur ou omission, par les agents de renseignement ou des
personnes non autrement identifiées malgré les quelques voyages effectués pour
s’en échapper.
Par la crainte de ces tentatives d’enlèvement et
arrestations arbitraires qui ne cessaient de se multiplier, la requérante
Tshibwabwa été obligée de se faire membre adhérent dans deux Organisations de
la société civile et de défense de droits de l’Homme ,le 10 avril 2014 précisément à la EFIDH sous la
direction de Monsieur Flavien KINGUNZA et le CEPRODHEC-CONGO BATATA NSIMBA et
Guillaume MUZAMBAKANI ,président ,secrétaire et Directeur National, et cela
grâce aux conseils et orientations de son frère germain, Tathy DIKANDA, déjà
membre de ces deux associations depuis plusieurs années.
Bref, étant membre de ces deux organisations de
défense des droits de l’homme, elle serait traitée de plusieurs étiquettes
mises en place par les agents de renseignement prédateurs dans l’intention de
la nuire d’avantage et qui seraient même dans le collimateur de ceux qui
menacent les actions de ces deux structures, notamment :
1. La
Complicité dans la gestion de compte et financement du M23 ;
2. La
Complicité dans la publication sur net des images sur la fausse commune de
Maluku et Opération likofi ;
3. La
Détention des informations et preuves sur le coulage des recettes des sociétés
extra minières, encouragé par certaines autorités.
Ce sont donc ces deux précitées organisations dont
elle est membre qui ont militées et militent jusqu’à ces jours pour la défense
de sa cause et saisissent par ricochet les autorités compétentes pour
information et préservation de l’image de la RDC ainsi que pour une démocratie
tant prônée, malgré la suite défavorable du résultat attendu étant donné que la
majorité parmi certaines des autorités restent contre les interventions des ces
deux structures de défense de Droits de l’homme.
Curieusement et contre toute attente, les agences de
renseignement vont contre-attaquer ces structures de défense de droits de
l’homme et organiser même de poursuite à l’endroit de ses responsables sous
prétexte qu’elles sont à la disposition des informations sur les fausses
commune de Maluku du 19 mars 2015 et détiennent même les preuves de coulages de
recettes de la société CDC contre les autorités Gouvernementales.
Bref, toutes ces étiquettes relatives à la détention
des informations sur la fausse commune et les preuves de coulage des recettes
lui ont été collées, outre la complicité de la gestion de compte du M23.
Malgré plusieurs voyages effectués dans l’objectif de
chercher refuge et échapper aux multiples poursuites et guet apens, dont à
l’extérieur comme à l’intérieur de la RDC notamment : à Lubumbashi et au Sénégal
qui n’ont donné aucun résultat en terme de protection, la requérante
sollicite par la présente une protection internationale auprès de tout pays
animé par l’hospitalité à l’égard de son opprobre et souillure de toute forme
de violence sexuelle et physique connue et lance un cri d’alarme aux autres
membres de la société pour la défense de sa cause combien inquiétante malgré les
multiples abus enregistrés. La vie humaine étant sacrée et les droits à l’asile
n’étant pas exclu.
Vernaud BATATA NSIMBA
secrétaire Général